Commentaires
Une excellente description est faite dans le livre "100 APPAREILS LÉGENDAIRES" de Patrice-Hervé PONT de son ancêtre le Calypsophot "made in Nice".
Son nom est Calypso, directement associé du nom d'un navire de recherche marine de Jacques-Yves COUSTEAU, MERCI Monsieur COUSTEAU, et la SPIROTECHNIQUE.
3 objectifs Un 35mm couvant un angle de vue de 46,5° sous l'eau et 62° sur terre, un 28mm, couvant un angle de vue de 59° pour les vues sous marine uniquement, et un 80mm couvant un angle de vue de 22° sous l'eau et environ 30° sur terre.
Prise synchro étanche.
Maximum 50 mètres de profondeur.
Corps en alliage léger spécial coulé sous pression, dont tout les pores invisibles, sont complètement obturés par imprégnation de plastique sous pression et à haute température.
A chaque raccordement entre des organes différents, des joints toriques (18) garantissent une parfaite protection contre toute infiltration d'eau.
Deux gros boutons de chaque côté de l'objectif sont utilisés pour les réglages de la distance et pour le diaphragme qui donne automatiquement la profondeur de champ entre deux repères rouge.
Commentaires de Mr SYLVAIN HALGAND :
Le levier d’armement est très bien conçu. Il fonctionne de la manière suivante :
En position de repos, parallèle au viseur, l’armement est effectué.
Pour déclencher, il faut ramener le déclencheur vers la griffe porte-accessoires. Une petit came articulée permet, ou non ce mouvement, donc le déclenchement.
Le déclenchement effectué, le levier se déploie et c’est le fait de le ramener à sa position initiale qui permet l’avancement du film.
Les réglages de Mise au point et d’ouverture de l’objectif sont réalisés en tournant les deux molettes de par et d’autre du fut de l’objectif.
Des indications très lisibles des réglages choisis se trouvent sur la face avant de l’objectif.
Le compteur de vues, dans un hublot, est situé sur la semelle.
Les attaches métalliques de courroie font parties intégrantes de l’appareil.
C’est en les positionnant sous les deux petites protubérances situées de part et d’autre du capot et en effectuant une traction synchronisée et « virile »…qu’on ouvre le dos….
Non, pas vraiment : On ouvre l’appareil en deux, en séparant par glissement, le capot et tout le système de prise de vue, du boîtier.
Sans « humidité ambiante », les joints collent et il est quasi impossible d’ouvrir l’appareil.